« Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie. »
(Isidore Ducasse, aka Lautréamont)

La musicienne irlandaise Natalia Beylis a enregistré un album entier avec comme source sonore principale une machine à coudre… dont les sons sont captés de manière quasi microscopique. C’est réussi !