Il parait loin le temps du premier album de Serafina Steer (où on la découvrait à la harpe). On l’avait retrouvée dans Bas Jan (à la basse, souvenez vous). Ici nous sommes dans des petits grains vibrants synthétiques et une voix parlée chantée qui peut évoquer la diction de Laurie Anderson. The mind is a trap.
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