Pour bien commencer l’année… rien de tel que l’écoute de ce classique de Luc Ferrari, inspiré par le Causse Mejean.
Note de programme :
« Mise en forme musicale de la bande sonore du film Presque rien ou le désir de vivre, où j’essaie de traduire musicalement l’impression ressentie devant le paysage. Cette apparition, qui n’est pas encore très explicite de l’analyse intuitive, se développera peut-être, qui sait ? Cela consiste à proposer des résultats, à partir de comparaisons ou de déductions non intellectuelles. »
Luc Ferrari.
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