Sortie récente du label Okraina : la violoncelliste Gwen Sainte-Rose construit des textures sonores aux lents développements. J’ai pensé à l’école Brian Eno et Robert Fripp (« evening star »), à Gavin Bryars et aussi à certains disques de Julia Kent. Mais au delà de ces références, il y a une forme d’abandon, de contemplation toute particulière dans ces véritables mondes dans le monde. On a envie d’y rester, et d’y revenir. Une superbe découverte.