Kim Giani joue de la musique sous tout un tas de pseudonymes, s’inventant des personnages, souvent avec humour et dérision, et maitrisant tant d’instruments que l’on ne peut pas tous les citer ici… mais c’est dans la lumière blanche d’un morceau dénudé, reposant juste sur une voix et une guitare qu’il arrive à me prendre par les sentiments. « Kim » tout simplement. Une véritable réussite ! Dans la lignée des grands morceaux « sur le fil », de Vincent Gallo à M.Ward, en passant par Nick Drake et José Gonzales. On est dans cette intensité là.