Contrairement à la pochette de l’album, il n’y a pas beaucoup de trombone sur l’album de Ansgar Wilken. Mais une subtilité de petites percussions… qui évoquent parfois les instruments inventés de Moondog. Utiliser un bol en aluminium comme caisse de résonance, ou un le dos d’un violoncelle comme batterie: voilà la recette de ces sons si particuliers. Très neufs, et un peu « post modernes », comme des « cliquetis bien tempérés », évoquant à la fois la musique classique et la musique électronique… on est dans un entre-deux très intéressant. Et c’est une sacrée découverte