Silvia Tarozzi et Deborah Walker forment un duo passionnant. Je me souviens de les avoir entendues sur les enregistrements récents d’Eliane Radigue (Occam Ocean 3), ou Philip Corner (Extreemizms). Avec « Canti di guerra, di lavoro e d’amore » (Chansons de guerre, de travail et d’amour), elles revisitent des chansons de leur jeunesse, chantant l’émancipation des femmes de la classe ouvrière et de la résistance partisane pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est très puissant.